Bovins de boucherie Le niveau de l’offre correspond mieux aux besoins
Après le retour des vacances de l’ensemble des acteurs de la filière, l’offre tend à progresser pour mieux correspondre à la demande. Les ensilages de maïs commencent timidement avec de très bons résultats, ce qui devrait permettre de tenir un meilleur état d’engraissement sur l’hiver dans les réformes laitières.
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Les sorties de la semaine sont en accord avec les besoins des industriels, qui tendent à stabiliser leurs tarifs même si des hausses apparaissent sur les cotations de marché. Les bonnes vaches prim’holsteins se négocient entre 4,60 et 4,65 €. Les P=3 se vendent dans une fourchette réduite, comprise entre 4,50 et 4,60 € en fonction du poids et des abattoirs. Les vaches P– sont également recherchées pour la fabrication de minerai, elles se valorisent entre 3,40 et 3,80 € dans les légères, et de 3,90 à 4,30 € pour les plus lourdes.
Dans les races à viande, le marché est également plus équilibré. De nombreux cours ont été reconduits cet après-midi sur le marché de Cholet. Les femelles de qualité bouchère se vendent normalement, avec des prix de blondes d’Aquitaine U compris entre 6,00 et 6,30 €. Les tarifs des limousines U évoluent entre 5,80 et 6,00 €. La vente est régulière avec des tarifs également stables dans les bonnes génisses et jeunes vaches charolaises. Les vaches U se sont négociés de 5,50 à 5,70 €, et les prix des R= vont de 5,40 à 5,50€.
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